L'intimité avec Dieu

Hello amie,

Permets-moi d’aborder avec toi le thème de l’intimité avec Dieu.

Est-ce possible d’imaginer une relation intime avec la Personne qui a lancé les galaxies en orbite, Lui qui fait trembler les montagnes, qui sait maîtriser les tsunamis, qui porte les étoiles dans Sa main? Est-ce possible de parler d’une relation intime avec Lui?

Oui! C’est ce que Dieu désire vivre avec toi, avec moi, partager nos vies. Il nous encourage à oser cette relation intime avec Lui, une relation toute douce, respectueuse, cœur à cœur.

Le verset du jour qui fait écho à ce thème:

« Cherchons à connaître l’Eternel, efforçons-nous de le connaître. Sa venue est aussi certaine que celle de l’aurore, et Il viendra vers nous comme la pluie, comme les ondées du printemps qui arrosent la terre ». Osée 6:3

Oh, ce texte parle directement à mon cœur. Si je m’ouvre à Lui, Il viendra! Dans cette rencontre il y a proximité, intérêt, passion, respect, douceur, fidélité.

Il y a de belles histoires dans la Bible de personnes qui ont eu cette intimité avec Dieu :

  • Adam et Ève qui se promènent avec Dieu dans la brise du soir

  • Abraham à qui Dieu confie Ses rêves sous un ciel étoilé

  • Moïse qui parle avec Dieu face à face

  • David décrit comme un homme selon le coeur de Dieu

  • Jésus qui se lève tôt pour être avec Son Père

  • Marie qui verse du parfum et essuie les pieds de Jésus avec ses cheveux

Mais avant d’aller plus loin, osons énumérer les raisons pour lesquelles, l’intimité avec Dieu peut être compliquée. As-tu déjà constaté cela? De ne pas avoir envie d’être avec Dieu, de t’ouvrir à Lui?

Cela m’arrive souvent. Si je suis honnête, cette réticence est souvent le résultat d'une déception face à Dieu. Je Lui demande quelque chose et quand je ne le reçois pas, je pense qu’Il m’a oubliée, qu’Il ne me prend pas au sérieux, qu’Il me retient des choses précieuses, qu’Il est indifférent. Je deviens méfiante. Je me cache de Lui, je L’évite.

Et c’est là qu’Il vient chercher ma compagnie, comme Il l’a fait pour Adam et Ève en Eden. Il vient me poser la question : « Liliane où es-tu? » S’ensuit souvent un dialogue intense où je peux Lui confier toutes les raisons de la distance que je maintiens entre Lui et moi. Je sens Son intérêt dans ce que je Lui dis, Sa compassion, mais également Sa détermination que notre relation retrouve l’intimité.

Il me réitère Sa passion pour moi, la promesse de Sa fidélité continue. Mon cœur se calme alors, je m’ouvre à nouveau à Lui.

Ce qui est exquis dans l’intimité avec Dieu c’est de pouvoir la vivre à n’importe quel moment du jour ou de la nuit. Entre deux sommeils il m’arrive de Lui chuchoter mon amour pour Lui. Lui me surprend par un passage bouleversant de Sa Parole ou par un chant d’oiseau à l’aube. Pour mon mari c’est sur sa moto, dans son casque, qu’il échange des mots d’affection pour son Dieu. D’autres me racontent la trouver en randonnée, dans un moment de plaisir, un coucher de soleil, après avoir résolu une équation de math, de réussir un saut en ski…tout est prétexte pour inclure Dieu dans nos quotidiens. Et Dieu aime cela!

Et toi? Où en est ton intimité avec Dieu aujourd’hui? Si tu devais mettre un chiffre de 0 à 10, où mettras-tu le curseur ? Par ce mail, Il t’invite à nouveau de prendre un instant dans ton esprit. Ps 18:7 nous dit qu’une audience privée avec Lui est instantanée. Il suffit de le désirer et immédiatement tu as l’accès exclusif à Sa personne! Sois honnête avec Lui, raconte-Lui tes déceptions, colères ou même ennuis qui te gardent éloigné de Lui. Il aime qu’on soit “cash” avec Lui et Il continue inlassablement à nous inviter à être intime avec Lui.

Quel Dieu touchant, humble, respectueux et déterminé à gagner nos coeurs, à être intime avec nous!!

Affectueusement,

 
 

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Illumination

Chère lectrice,

Aujourd’hui, je te propose une réflexion d’ombre et de lumière, une invitation à considérer autrement ces moments où le temps ou les lieux nous semblent si sombres.

La nuit a souvent un côté inquiétant. On est moins confiant. Forcément. On voit moins bien. Comment savoir ce que les zones d’ombre dissimulent ? Et s’il y avait quelque danger ? On a besoin de lumière pour avancer sereinement et en sécurité. Pourtant, s’il fait nuit et qu’on allume la lumière, celle-ci va d’abord nous aveugler. Trop vive, elle nous éblouit et pendant un moment on n’y voit plus rien.

Lorsqu’on est en difficulté parce qu’il fait trop sombre, on va chercher une solution rapide. L’interrupteur en est une, pourvu qu’il soit là, mais il jette d’abord une lumière violente qui agresse notre vue. Cette tendance à vouloir tout résoudre facilement et promptement peut ainsi se révéler une source de péril au lieu d’un remède. Par ailleurs, ce qui est brillant est souvent attirant, mais les paillettes s’avèrent régulièrement trompeuses, aptes à nous faire miroiter des vérités illusoires.

Méfions-nous donc de notre désir de lumière.

Il y en a toutefois une, de lumière, qui ne représente nul piège, bien au contraire. Du reste, il ne s’agit pas d’une source de lumière mais de la lumière. C’est Jésus. La Parole de Dieu nous révèle dans Jean 1:4-5 (BDS) : « En lui résid[e] la vie, et cette vie [est] la lumière des hommes. La lumière brille dans les ténèbres et les ténèbres ne l’ont pas étouffée ». Ô combien ces mots sont rassurants !

Sa lumière est forte mais non pas agressive, ni trop vive. Elle jaillit de l’intérieur, de Lui, puisqu’elle est en lui. Jésus nous permet d’avancer dans la nuit quand les contours autour de nous sont flous et parfois effrayants : nous ne discernons peut-être pas tout, mais cela importe peu finalement. Il y a cette clarté en nous qui illumine gentiment ce qui nous environne. Au lieu de faire mal aux yeux, la lumière de Jésus est bienfaisante.

Il y a plusieurs vérités à garder à partir de cette image de la douce lumière. Premièrement, elle est toujours là. Elle ne s’éteint jamais. Qu’importe le déchaînement des éléments ou la tempête des événements, cette lumière n’est jamais « étouffée ». Par conséquent, cela nous garde de l’appréhension ou de la crainte. Cette assurance pour mon âme, voici ce que je souhaite retenir.

Deuxièmement, cette lumière en nous signifie que, même si nous entrons dans un lieu ou dans une période très sombre, nous allons y voir. Certes, cela peut paraître infime ou dérisoire au départ. Ce qui se produit, cependant, c’est que, graduellement, nos yeux s’habituent à l’obscurité. Non pas que nous nous y conformions ou adaptions, absolument pas. Mais nous devenons capables de mieux discerner ce qu’il y a autour de nous. Grâce à cette lumière en nous. Nous pouvons dès lors mieux confronter les ténèbres. Avec Jésus, elles sont soit transpercées, soit transformées ! C’est ainsi que la lumière gagne du terrain et triomphe.

‘Jesus, you illuminate the dark,’ pouvons-nous proclamer comme Red Rocks Worship dans leur chant ‘No Other Love’ (https://www.youtube.com/watch?v=efIrG7Mo92k). Jésus, tu illumines les ténèbres !

Je te laisse, chère lectrice, avec cette image de la lumière bienfaisante et encourageante. J’espère qu’elle illuminera ta journée et bien plus encore !

Cordialement,

 
 

Samantha Steiner
samantha@eglisehome.com

 

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Petit lapin en peluche

Chère amie,

Les murs de ma maison sont épais mais fragiles. Des grandes brèches les traversent de haut en bas où les paroles mensongères de l’ennemi s’infiltrent comme un vent du nord glacial.

Le feu s’est éteint dans la cheminée. Il ne reste plus qu’un petit tas de cendres fumant. J’ai perdu toute envie de chanter, toute force de ma battre, toute joie de vivre. Je me sens disparaitre.

Mais quelque chose en moi, comme une petite flamme que les doutes n’ont pas réussi à éteindre, me dit : « Maintenant, prends soin de toi ! »

Je me suis si souvent jetée aux pieds de Jésus comme Jaïrus en lui adressant cette insistante prière pour ma fille : « Ma petite fille est à l’extrémité ; viens, impose-lui les mains afin qu’elle soit sauvée et qu’elle vive. » Marc 5:21-43

Mais dans cette histoire, Jésus ne sauve pas seulement la petite fille du chef de la synagogue. Il y a aussi cette femme atteinte de perte de sang. Je me retrouve en elle.

Elle souffre depuis 12 ans. 12 ans … comme l’âge de la fille de Jaïrus. Comme s’il y avait un rapport entre les deux, comme si la souffrance de ma fille était aussi la mienne.

Maintenant, c’est le moment où Jésus s’arrête et prend le temps de parler à cette femme qu’il a guérie pour qu’elle puisse aller en paix.

Pendant ce temps, Jaïrus doit se mettre en retrait et attendre un peu. Pour moi, c’est comme si mes préoccupations de maman étaient mises en parenthèse pour que Jésus puisse prendre soin de mes blessures du passé.

Je décide d’aller acheter des nouveaux draps de lits. Cela fait si longtemps que je n’ai plus passé une bonne nuit.

Dans le magasin, j’avance lentement dans les allées en suivant les flèches. Elles me dirigent à travers les meubles et les décorations jusque vers l’espace pour enfants. Et là, je croise le regard d’un petit lapin en peluche blanche assis sur une étagère. Un regard doux, mélancolique. Il a une croix brodée en guise de bouche, comme si on lui avait interdit de parler. Je me reconnais en lui. J’hésite un instant et m’éloigne. Mais je reviens sur mes pas et décide d’offrir cette jolie peluche à la petite fille qui demeure en moi, pour qu’elle puisse dormir en sécurité dans sa maison.

Quelques jours plus tard, alors qu’il faut que je prépare à manger pour mes enfants et que je rassemble toute l’énergie qui me reste pour aller à la boucherie, Dieu vient encore une fois toucher mon âme d’enfant. Je ne sais pas encore ce que je vais acheter. Un client devant moi commande des tranches de jambon. Et le boucher me tend la chute avec un sourire bienveillant. Je me sens comme une petite fille. Et je sais que Dieu me parle à travers ce geste d’amour.

Je comprends que je dois demander de l’aide. Je suis si fatiguée, épuisée, à bout de force. L’infirmière me fait une prise de sang, mais elle ne trouve pas mes veines. Elles se cachent. Elles se font toutes discrètes, comme la petite fille que j’étais. Elle vivait sans faire de bruit, sans faire de vagues, pour ne pas déranger. Le sang coule finalement, goutte à goutte, comme des larmes.

En sortant du centre médical, mes pas me conduisent à la boulangerie. J’ai faim. Je n’ai pas pris de petit-déjeuner avant la prise de sang. Je commande un croissant et dans un élan de générosité, la boulangère m’en offre un deuxième. Je la remercie et lui dit que je penserai à elle en le mangeant. Son visage s’illumine. Un petit moment de partage, comme un rayon de soleil dans ma journée qui vient sécher mes larmes et réchauffer mon coeur.

Le même jour, dans l’après-midi, je fais une rencontre inattendue et improbable au magasin de bricolage. Un ami de mes parents avec sa femme. Je le connais depuis que je suis enfant. Il habite en France maintenant. Je l’aime beaucoup. Il fait partie des rares personnes qui ne se sont pas détournées de ma maman quand elle a traversé son temps difficile. Un ami fidèle.

Nous échangeons quelques nouvelles et au moment de se dire au revoir, il me serre dans ses bras. Il me dit : « Nous t’aimons beaucoup »

Ainsi, Dieu vient parler à mon âme d’enfant. Il veut apporter paix et sécurité à la petite fille que j’abrite en moi. C’est elle, en fait, qui a besoin d’aide.

Pour elle, je me rends chez un thérapeute. Ensemble nous déconstruisons les protections que j’avais érigées comme des échafaudages autour de ma maison et nous découvrons les brèches que Dieu lui-même vient réparer une à une. Grâce parfaite, bonté infinie, fidélité sans limite … l’amour de Dieu vient affermir mon cœur.

Le vent du nord souffle encore. Glacial et impétueux. Mais le feu brûle de nouveau dans ma cheminée et les brèches se réparent petit à petit. Il fait déjà moins froid dans ma maison.

Ce soir je dors paisiblement blotties dans mes draps propres, le petit lapin serré dans mes bras.

Et pour Jaïrus, à qui on vient dire que sa fille est morte, Jésus prononce ces paroles d’espérance : « Ne crains pas, crois seulement ! » Je sais qu’il viendra aussi relever ma fille pour qu’elle vive.

Je me couche et aussitôt je m’endors en paix, car c’est toi seul, Éternel, qui me donnes la sécurité dans ma demeure. Psaumes 4:9

Le Seigneur est fidèle, il vous affermira et vous protégera du malin. 2 Thess. 3:3

Le Dieu de toute grâce, qui vous a appelés en Jésus Christ à sa gloire éternelle, après que vous aurez souffert un peu de temps, vous perfectionnera lui-même, vous affermira, vous fortifiera, vous rendra inébranlables. A lui soit la puissance aux siècles des siècles ! Amen ! 1 Pierre 5:10-11

 
 

Sylvie Scheidegger
e-mail

 

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Je choisis!

As-tu déjà remarqué combien c’est difficile pour un enfant de choisir entre deux choses qu’il aime. C’est même parfois trop difficile et il nous faut l’aider. Même en tant qu’adulte nous avons parfois de la peine à choisir. Ce qui nous retient souvent c’est la peur de se tromper, la peur de rater le meilleur.

J’ai remarqué que Dieu nous invite souvent à choisir, à oser choisir. Il ne s’impose pas, il ne vient pas «avec ses grands souliers» piétiner notre vie, mais plein de tendresse il nous invite à choisir, à oser.

Ces derniers temps je pense souvent à cette parole de Dieu dans le Deutéronome qui nous invite à  «choisir la vie afin de vivre » Deutéronome 30:19

Choisir la vie! Au départ nous ne l’avons pas choisie, mais très vite dans la vie nous sommes confrontés à des choix. Parfois des choix face à des circonstances imprévues, imprévisibles, mais le plus souvent nous pouvons réellement choisir.

Chaque choix que nous faisons a des conséquences. Dans le Psaume 27, le psalmiste nous montre la décision qu'il a prise :
«Voici ce que je désire: habiter pour toujours dans la maison de l'Éternel» (v.4), puis il enregistre pour nous la conséquence (ou la bénédiction) de ce choix : «Je contemplerai la bonté de l'Éternel dans le pays des vivants» (v. 13).

Pouvoir choisir est l'une des plus grandes expressions de l'amour! C’est un don, un cadeau. L'amour doit donner un choix, sinon il devient contrôlant, manipulateur et automatisé. Sans choix, l'amour manquerait de cœur; en fait, sans choix, l'amour ne serait pas l'amour.

Peut-être un jour as-tu choisi Dieu et ensuite, face aux circonstances de la vie tu l’as abandonné, tu ne le prends plus en compte dans le déroulement de ta vie. Aujourd’hui Dieu te rappelle «...D’un amour éternel, je t’aime, c’est pourquoi je t’attire à moi par l’affection que je te porte.» Jérémie 31:3 Sa porte est toujours ouverte, tu peux refaire un choix. C’est plein d’affection qu’il nous attire, non pas avec dureté mais rempli de compassion.

C'est un choix qui s'offre à nous, pas un ordre. Et si nous réalisons que c’est le Père qui place ce désir dans notre cœur, nous n’avons plus peur et découvrons la vie et la joie de la vie. Toujours à nouveau, nous aurons à choisir, donc à renoncer à quelque chose d’autre.

Ma prière c’est que jamais la peur ne dicte nos choix mais au contraire, la joie de lui appartenir, de se savoir aimée et attendue par lui.

 

Conférence TROUVER LE PÈRE DANS TOUTE LA BIBLE,
en juin 2025 à Renens :

 
 

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Petits bonheurs : éclairage divin

Comment ça va ton cœur ce matin ?

Un peu lourd le mien ces derniers matins. Un peu comme ce ciel, qui annonce la pluie.

Déjà je me lève avec les deux genoux en feu, le dos plié, le nez bouché… Suivent les avis de grippes chez les uns et chez les autres… et ça change mes beaux plans.

Et puis, il y a les amis : ceux qui s’en vont et ceux qui entrent dans une période de pré-départ. Ceux qui sortent de l’hôpital, ceux qui ont besoin d’en parler, d’être réconfortés. Et les parents âgés qui demandent de plus en plus d’aide et de soutien… et toujours les médias qui n’ont rien de bon à annoncer.

Tu comprends ? Tu comprends un peu pourquoi j’ai un besoin urgent de chercher ce qui réjouit mon âme ?

Parce que certains matins, la reconnaissance c’est dur, dur. Et je dois vraiment m’y forcer.

Mais ce matin, en fouillant mon cœur pour y trouver mes petits bonheurs de la veille, je réalise qu’en fait, Dieu combat pour moi et a préparé des sources de joie pour contrer la tristesse.

Ça me fait un peu le yo-yo émotionnel je dois dire, cette bataille des nouvelles, tantôt tristes, tantôt gaies. Mais peu importe, je vois bien que Dieu me montre un chemin de bonheur et non de malheur, ça c’est sûr. Et je vois bien qu’il ponctue mes journées de petites lumières, un peu comme celles qui ont été installées dans mon jardin et qui s’allument dès que je m’en approche. Un chemin tendrement éclairé de petits bonheurs quotidiens qu’Il me demande de suivre.

En fait, il pourvoit à mon état émotionnel en contrecarrant les effets des mauvaises nouvelles.

Alors, en pensant à tout ce qui a réjoui mon cœur ces derniers jours, et non pas en ressassant les nouvelles maussades, je vois le chemin qu’Il m’a tracé.

« Le SEIGNEUR m’a dit : « Je vais t’enseigner et te montrer la route à suivre. » Psaume 32.8

Oh oui !!!

Je comprends que le chemin à suivre c’est celui de la reconnaissance des moments qui ont réjoui mon cœur. En choisissant ce chemin-là, je me positionne sur un autre chemin que celui morose et instable que le monde veut me proposer.

Je choisis la Vie dans la reconnaissance.

Je choisis la Lumière plutôt que l’obscurité.

Je choisis le Chemin que Lui éclaire.

JE CHOISIS DIEU.

« Oui, je vous préviens aujourd’hui, en prenant le ciel et la terre comme témoins : je mets devant vous la vie et la bénédiction, la mort et la malédiction. Choisissez donc la vie pour que vous viviez, vous et vos enfants. » Deut. 30.19

PS

Ce qui a réjoui mon cœur ?
Un cours de poterie avec ma fille
Une rencontre avec des femmes étrangères.
Un café partagé avec une amie.
Un témoignage partagé dans mon village.
Une voisine qui demande que je lui parle de Dieu.
Le désir de peindre retrouvé.
… et les lumières dans mon jardin qui fonctionnent à nouveau !


 

Milvia Carraux
nouvelles@netplus.ch

 

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Ce que tu dois entendre (assez régulièrement)

Ce dont tu dois te souvenir !

Écoute… écoute bien, respire profondément !

Je te vois, Je t’entends, Je suis.

Je sais où tu es, Je sais où tu t’assois, Je sais où tu te tiens, je sais où tu conduis, Je sais où tu vas. Je connais tes pensées et tes actions. Je sais!

Je vois tes luttes, Je vois ta douleur, Je vois tes frustrations, Je vois. Tu n’es pas seule: Je suis là avec toi.

Même si ça semble parfois interminable et tellement décourageant. Tu fais face aux mêmes tentations encore et encore, tu affrontes les mêmes luttes encore et encore, et tu ressens cette douleur infinie qui ronge ton âme…

Je le vois. Et tu sais quoi ? Je le ressens aussi, et Je suis là.

Tu sais que le Dieu des armées célestes est de ton côté. Le Dieu qui délivre Son peuple et qui fait un chemin à travers la mer. Ce Dieu est ton Dieu.

Souviens-toi de la vérité que tu as entendue et que Je t’ai dite et dis-la à ton âme.

Je t’aiderai, Je te guiderai, Je te soutiendrai, Je prendrai soin de toi.

Continue; continue de faire confiance et d’avancer. Je crois en toi. Je te fais confiance.

Avec affection,

Ton Papa

“Maintenant, voici ce que dit l'Eternel, celui qui t'a créé, (mets ton prénom), celui qui t'a façonné, (mets ton prénom): N'aie pas peur, car je t'ai racheté. Je t'ai appelé par ton nom: tu m'appartiens! Si tu traverses de l'eau, je serai moi-même avec toi; si tu traverses les fleuves, ils ne te submergeront pas. Si tu marches dans le feu, tu ne te brûleras pas et la flamme ne te fera pas de mal. En effet, je suis l'Eternel, ton Dieu, le Saint d'Israël, ton sauveur.” Esaïe 43:1-3

 

Marianne Van Hasselt-Zondervan
mariannevanhasselt@gmail.com

 

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Chronique de la salle de bain (34)

 

Bonjour chère Amie ! 

Quand je prépare ma chronique de la salle de bain, je me demande souvent : qu’est-ce qui pourrait t’intéresser? J’essaie de traiter des sujets qui peuvent te rejoindre mais je suis bien consciente que nous ne vivons pas toutes les mêmes choses.
Dans cette vidéo, je parle d’un aspect de ma vie de maman. Tu n’es peut-être pas mère et c’est un sujet douloureux pour toi… je t’invite à regarder ma chronique en remplaçant “mon défi avec mes enfants” par “mon défi avec mon travail ou ma santé ou ma famille (mes parents, mes frères et soeurs, etc…)”

Je te souhaite une bonne journée!

 

 
 

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Mon amour pour Dieu

Hello amie,

Je continue avec toi ce thème si essentiel “Grandir dans ma capacité d’aimer Dieu” 

(Merci Samantha pour ton magnifique texte la semaine dernière qui souligne plusieurs points que je vais reprendre ici.)

Voici le texte que je te propose : Psaume 27:4 

J’ai présenté à l'Éternel un seul souhait,
mais qui me tient vraiment à cœur :
je voudrais habiter dans la maison de l'Éternel tous les jours de ma vie
afin d’admirer l'Éternel dans sa beauté,
et de chercher à le connaître dans sa demeure.

Quelle concentration d’intensité et de passion! David nous inspire par sa ferveur et son adoration pour son Dieu. Il nous propose de faire le lien entre la beauté et la connaissance de Dieu. Connaître et aimer un Dieu invisible est complexe. Je suis reconnaissante pour l'idée de L'apercevoir dans la beauté du monde. Es-tu partante d’explorer cet angle d’approche avec moi?

Cet accès à Dieu, la beauté, est partout : le chant des oiseaux à l’aube, les feuilles tendres sur les arbres, les primevères qui parsèment la verdure, la brume du matin.

Au cœur de nos villes, également, cette beauté est omniprésente : une fleur qui pousse dans la fissure du béton, un rayon de soleil sur un immeuble, le rire d’un enfant, le sourire d’une personne croisée.

Dieu se laisse trouver partout! La beauté somptueuse de notre planète est un accès direct dans Sa présence, vers Sa personne. Profitons de ces moments d’admiration pour inclure l’Artiste dans notre émerveillement.

La beauté de Dieu est aussi évidente dans Son caractère : Sa tendresse pour nous, Sa passion pour nous, Son intérêt dans chaque détail de nos vies, Son plaisir à nous voir vivre, Sa détermination de nous voir mûrir. 

“Mon Dieu, Tu m’a placé dans un écrin de beauté où je Te vois à chaque instant! Dieu Tu es somptueux, Dieu Tu es époustouflant, Dieu, la merveille de qui Tu es me bouleverse. Je Te vois dans tellement de moments de beauté dans ma journée. Je Te vois également dans les traits de Ton caractère que Ta Parole me révèle : Ta tendresse et Ton respect pour moi, Ta détermination de me voir mûrir, Ton espérance pour le monde qui Te pousse à accomplir Tes projets de salut pour toutes et tous !
Ouvres-mes yeux aujourd'hui pour que je ne rate aucune manifestation de Ta belle présence dans ma vie, oh mon Dieu que j’aime, que j’adore. Je veux habiter dans Ta présence tout au long de cette journée qui m’attend. Je veux grandir dans ma capacité de T’aimer passionnément, comme Tu m’aimes en retour.”

Sois richement rejointe par notre Dieu d’amour aujourd’hui!

 
 
 

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Adoration

Chère lectrice, chère amie,

Comment vas-tu? La réponse m’intéresse vraiment. Chaque fois que je rédige un Mail Hebdo, j’essaie de t’imaginer, toi, qui reçois ce message. Je pense que chaque rédactrice des Mails Hebdo souhaite que ses mots puissent faire du bien, que cette impulsion du lundi matin soit une bénédiction et un encouragement.

Comment te sens-tu aujourd’hui? Peut-être as-tu le cœur lourd? Peut-être connais-tu un sentiment de fatigue face au poids de tes responsabilités ou une certaine lassitude à cause de toutes ces choses auxquelles tu dois penser?

C’est pourquoi aujourd’hui je désire te parler d’adoration. Il y a un rapport, je t’assure. Quand nous nous trouvons absorbées par une vertigineuse « to-do list », pressées de répondre aux demandes venant de part et d’autre, prendre une respiration ou même une pause pour lever les yeux vers Dieu s’avère souvent salvateur. Je suis sûre que tu as déjà pu en faire l’expérience ; et si ce n’est pas le cas, essaie pour voir. 

Quand nous levons les yeux vers le ciel, nous nous extirpons de ces eaux marécageuses auxquelles peut parfois ressembler notre quotidien. Notre regard se détourne de notre propre personne et de nos tracas pour se laisser surprendre par la beauté de ce qui nous entoure. Nos sens s’éveillent à la nature, à ce qu’elle produit de bon. Cela nous conduit au Créateur : nous sommes rendues sensibles à ce qu’Il fait autour de nous et dans nos vies. 

S’arrêter pour admirer l’œuvre de Dieu et l’adorer, Lui, cela apaise. Nul besoin d’être dans un lieu tout particulier pour le faire. En attendant un bus ou un train en milieu urbain, tu peux tout à coup remarquer les différentes teintes et textures variables du ciel, la luminosité particulière de cette journée. Peut-être que tu peux entendre le chant guilleret d’un oiseau ou admirer son vol gracieux ? Parfois ce sera une mélodie entendue en voiture ou un sourire reçu… autant de petites attentions qui me font apprécier la bienveillance de Dieu. 

Je songe alors à des situations concrètes de ma vie, à ces occasions où Dieu m’a montré qu’Il entendait mes prières et y répond. La reconnaissance emplit mon cœur et, avec elle, vient l’espérance. Si Dieu a pu agir ainsi par le passé, je peux m’attendre à ce qu’Il me surprenne à nouveau et montre qu’Il peut faire bien plus que je ne peux l’imaginer. 

Et toi? A quoi tes sens te rendent-ils attentive? Qu’est-ce qui t’émerveille aujourd’hui?

« Allez, viens… lève les yeux vers les hauteurs. N’est-ce pas là que tu trouves ton secours? « L’Eternel qui a fait le ciel et la terre te gardera des faux pas, celui qui te protège ne sommeillera pas. Non, jamais il ne dort, jamais il ne sommeille. […] L’Eternel veillera sur toi pendant tes allées et venues, dès maintenant et à jamais » Psaume 121

Je te souhaite une belle semaine.

Cordialement,

 
 

Samantha Steiner
samantha@eglisehome.com

 

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Kumbaya « come by here »

Chère amie,

Je te parlais la dernière fois de ma maison avec ce voisin qui nous opprime. Ses regards, ses gestes méprisants, ses lèvres mensongères, sa bouche perverse, sa langue … comme un glaive tranchant. (Psaume 57:5)
Nous avons décidé de chercher une autre maison et Dieu nous a gardés dans nos différentes démarches, mais aucune porte ne s’est ouverte. J’aurais aimé que Dieu nous donne des réponses claires, qu’il nous conduise, qu’il nous indique où aller. Mais il est resté silencieux.
N’entend-il pas mes gémissements ou est-ce moi qui n’entends pas sa voix, comme les enfants d’Israël que l’angoisse et la dure servitude empêchaient d’écouter Moïse ? (Exode 6:9)
Comme pour eux, le jour où nous nous sommes levés face à l’oppression de notre voisin, celle-ci est devenue plus forte, plus dure, plus violente. Je ne trouve plus le sommeil quand je me couche, je ne me sens plus en sécurité dans ma maison. (cp. Psaumes 4:9)
Quand je crie, réponds-moi, Dieu de ma justice ! Quand je suis dans la détresse, sauve-moi ! aie pitié de moi, écoute ma prière ! (Psaumes 4:2)

Tu es juste, ô Éternel … pourquoi la voie des méchants est-elle prospère ? Pourquoi tous les perfides vivent-ils en paix? (Jérémie 12:1)

Pourquoi, ô Éternel ! te tiens-tu éloigné ? pourquoi te caches-tu au temps de la détresse ? (Psaumes 10:1)

Mon Dieu ! mon Dieu ! pourquoi m’as-tu abandonné, et t’éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes?
Mon Dieu ! Je crie le jour, et tu ne réponds pas;
La nuit, et je n’ai point de repos. (Psaumes 22:2-3)

Je sais pourtant et je crois que quand un malheureux crie, l’Éternel entend, et il le sauve de toutes ses détresses. (Psaumes 34 :6)

Toutes ses détresses? Y aurait-il plus que l’oppression du voisin ? Y aurait-il une insécurité plus profonde ? Une angoisse plus grande ? Une autre servitude ?

Mon Dieu ! Mon Dieu ! pourquoi m’as-tu abandonné ? (Psaumes 22:2) Elle est là, la véritable source de mon insécurité, mon angoisse profonde : « pourquoi m’as-tu abandonné ? » C’est la peur d’une petite fille qui n’a pas été en sûreté sur les mamelles de sa mère. (cp. Psaumes 22:10)

Chacune des paroles acerbes du voisin ravive cette peur, comme un couteau que l’on remue dans la plaie, jusqu’à faire naître le doute et nourrir des pensées mensongères : « tu ne seras jamais assez bien, c’est ta faute, tu ne mérites pas … »

J’ai dit : « L’Éternel m’a abandonnée, le Seigneur m’a oubliée. » Mais Dieu, du milieu de son silence, m’a rappelé ces paroles de vérité : « Est-ce qu’une femme oublie le bébé qu’elle allaite ? Est-ce qu’elle cesse de montrer sa tendresse à l’enfant qu’elle a porté ? Même si elle l’oubliait, moi je ne t’oublierai jamais. » (Esaïe 49:14-15)

Je sais que dès le sein maternel, j’ai été sous sa garde, dès le ventre de ma mère il a été mon Dieu. (Psaumes 22:11)

« Je ne suis plus esclave de la peur, je suis enfant de Dieu. »

Mais aujourd’hui, Dieu veut faire plus que de me donner une maison dans une contrée paisible où je me sens en sûreté. Il veut m’apprendre à marcher sans crainte, même sur les rives orgueilleuses du Jourdain. Il veut me rendre capable de lutter avec les chevaux, capable de supporter l’oppression en plaçant ma confiance en lui, capable de résister aux ruses du diable en puisant la force en lui. (cf. Jérémie 12:5) (Ephésiens 6:10-12) Il veut affermir mon cœur et me rendre sure de son amour.

Alors, concrètement, face aux attaques de l’ennemi, je me répète que je suis précieuse pour Dieu. C’est Lui qui a formé mes reins, qui m’a tissé dans le sein de ma mère. Je le loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. (Psaumes 139:13-14)

Et je chante dans ma maison : « KUMBAYA, MY LORD »

Quelqu’un pleure, Seigneur, Kumbaya ! Viens en ce lieu, Seigneur ! Protège-moi dans ton amour ! Quelqu’un chante, Seigneur, quelqu’un prie, Seigneur, Kumbaya !

Mon Dieu, délivre-moi de mes ennemis, protège-moi …
Tu es ma force, je regarde vers toi.
Oui, Dieu me protège avec puissance.
Mon Dieu plein d’amour vient à ma rencontre,
Il me fait regarder en face ceux qui me surveillent en cachette …
Moi, je chanterai ta force, le matin, je crierai de joie pour ton amour.
Oui, tu es mon puissant protecteur, un abri sûr au moment du malheur.

Toi, ma force, je vais chanter pour toi.
Oui, tu me protèges avec puissance, ô Dieu, toi, mon Dieu plein d’amour.
(
Psaumes 59:11 + 17-18 Parole de Vie)

 
 

Sylvie Scheidegger
e-mail

 

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Plus grand que ton coeur

Chère amie,

Ecoute cette vidéo (de 1.20 min) pour t’encourager!

“Je lève mes yeux vers les montagnes... D'où me viendra le secours ? Le secours me vient de l'Eternel, Qui a fait les cieux et la terre. Il ne permettra point que ton pied chancelle; Celui qui te garde ne sommeillera point. Voici, il ne sommeille ni ne dort, Celui qui garde Israël. L'Eternel est celui qui te garde, L'Eternel est ton ombre à ta main droite. Pendant le jour le soleil ne te frappera point, Ni la lune pendant la nuit. L'Eternel te gardera de tout mal, Il gardera ton âme; L'Eternel gardera ton départ et ton arrivée, Dès maintenant et à jamais.” Psaume 120:1-8

 

 

Milvia Carraux
nouvelles@netplus.ch

 

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Résolutions 2025 : Parlons d’Amour

Alors, c’est quoi tes résolutions pour 2025 ?!?

Personnellement j’en n’ai pas prises. L’expérience m’a appris ce que les statistiques confirment: les résolutions ne passent pas le cap du 31 janvier. Pour moi, elles n’arrivent déjà pas au 2 janvier !

Alors, si cette année on décidait autre chose ? Si cette année on parlait d’Amour ? On se parlait d’Amour ? Oui, tu as bien lu, avec un grand « A ».

Et puis, si non seulement on en parlait, mais on le pratiquait ? Tu sais, qu’on fasse des choses qui le montrent, l’Amour. Parce qu’en parler, c’est facile, mais le mettre en pratique, c’est une autre histoire. Aimer ça semble facile dans les contes, mais dans la vie, la vraie vie…

Comment tu aimes quand l’amour s’est épuisé à trop donner ? Quand, fatigué, il est devenu combat ; lorsque trahi, il voudrait s’en aller, et abusé, il ne sait plus quoi être ?

Comment aimes-tu encore dans ces moments-là ?!?

Pas facile. Mais n’est-ce pas ce que nous demande Jésus : être différents dans l’amour en aimant même ceux qui nous font du mal, en aimant jusqu’à nos ennemis, en aimant envers et contre tout ?

Et si le fait d’aimer malgré tout était un antidote à la haine qui pourrait nous dévorer le cœur ?

Et si aimer au-delà de nos blessures nous permettait de nous aimer nous-mêmes ?

Et si cet amour difficile que Jésus nous demande d’avoir était chemin de liberté ?

Dernièrement j’ai réalisé qu’aimer ça s’entraîne, ça se travaille, ça demande de la persévérance et du courage. Et c’est un peu ça parfois notre chemin de croix.

Alors, je comprends pas toujours… mais j’ai un jour choisi de Le suivre et d’obéir.

Alors, là non, Seigneur, toute seule j’y arrive pas ! J’ai besoin de toi !!!

« et prenons garde l’un à l’autre pour nous exciter à l’amour et aux bonnes œuvres.» Hébreux 10:24

« Persévérez dans l’amour fraternel. » Hébreux 13:1

« Et si vous faites du bien seulement à ceux qui vous font du bien, pourquoi vous attendre à une reconnaissance particulière ? Même les pécheurs en font autant ! »  Luc 6:33


 

Milvia Carraux
nouvelles@netplus.ch

 

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Le bon comportement est-il une perte?

Vous connaissez tous l'apôtre Paul et je l'aime bien aussi, mais franchement, il dit des choses très particulières, ce mec.

Son message principal dans ses lettres est: “Nous sommes aimés, nous sommes libres, nous vivons en Christ. Alors ne comparez pas, ne jugez pas et soyez reconnaissants.”

J'aime lire ça!

Mais Paul ajoute un autre niveau dans Philippiens 3:8 “Je considère tout comme une perte, à cause de l'immense valeur de la connaissance du Christ Jésus, mon Seigneur.”

Ça veut dire quoi ?

Il aurait pu dire : “Oui, ton éducation, ta famille, ton école biblique, ton travail sont importants mais pas autant que la connaissance du Christ.” Je peux comprendre cela, mais considérer ces choses comme une perte ?

Que veut dire Paul ?

En substance il dit : “J'ai cru autrefois que c'étaient des gains, mais maintenant je les considère comme des pertes, parce que la connaissance de Jésus surpasse tous ces gains à un niveau tout à fait nouveau.” Je pensais que ces choses m'aideraient, mais en fait ce n'est pas le cas.

Bon, quand je regarde à ces choses, je vois que:

. mon éducation ne me sauve pas

. mon comportement ne me rapproche pas de Dieu

. ma famille est importante mais ne me donne aucune assurance

. mon école biblique remplit ma tête, et parfois mon coeur, mais ne suffit pas.

En fait, je suis perdue sans Sauveur, je n’ai pas d’espérance ni d’assurance.

Toutes ces choses peuvent m’empêcher de me voir telle que je suis: “Perdu sans le Christ.” Je suis totalement sauvé par le Christ, avec ou sans bonne éducation, bon comportement, bonnes études, bonne conduite.

Je pensais que certaines parties de moi étaient bonnes. Et elles peuvent l’être, mais si je mets ma confiance dans ces choses, je suis sans espoir. Je suis perdue.

Jésus est le seul à pouvoir m'aider, à pouvoir me sauver. Jésus me donne la justice à cause de Lui-même. Cela me rend vraiment libre. Libre de recevoir de l'amour sans me juger si je le mérite ou non. Si aujourd’hui je crois “avoir raté”, je suis toujours justifiée par Sa grâce. Je suis libre de donner de l'amour sans juger les autres, parce que c’est Jésus lui-même qui les aime.

Aide-moi, Seigneur, à créer plus d'espace pour toi dans ma vie, à me tourner plus souvent vers toi.

Comment peux-tu te concentrer sur Jésus aujourd'hui ?

Comment peux-tu regarder l'autre et toi-même à travers Jésus ?

 

Marianne Van Hasselt-Zondervan
mariannevanhasselt@gmail.com

 

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Chronique de la salle de bain (33)

Bonjour chère Amie ! 

En guise de salutations et avant que tu ne regardes ma chronique de la salle de bain j’aimerais te donner cette bénédiction tirée du livre des Nombres. 



Que l'Eternel te bénisse et te garde!
Que l'Eternel fasse briller son visage sur toi et t'accorde sa grâce!
Que l'Eternel se tourne vers toi et te donne la paix!

Sois bénie chère amie dans tous les défis de ta vie ! 

Amitiés 

Marie


 
 

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Mon amour pour Dieu

Hello amie,

Restons dans ce thème "Comment grandir dans ma capacité d’aimer Dieu, l’autre et moi-même”?

Aujourd’hui je te propose de méditer la première injonction “Aimer Dieu”.

Grandissons, amie, dans notre capacité d’aimer en retour, ce Dieu qui nous aime si ardemment! Son amour pour nous est si immense, inconditionnel, rayonnant!

Je suis née entre deux pages de la Bible (parents missionnaires), et j’ai demandé à Dieu d’être mon Sauveur à mon plus jeune âge. Je l’ai fait au moins 50 fois par peur d’avoir loupé une étape (🤣). Pourtant j’ai mis beaucoup d’années à être intime avec Dieu. J’avais trois grandes difficultés :

  • Dieu m’a longtemps semblé trop occupé, lointain, indifférent à mes soucis.

  • Le fait qu'Il soit trois, a été un grand défi pour moi. Avec qui parler ? Dieu, Jésus ou le Saint Esprit ?

  • Je suis une personne visuelle et Son invisibilité me posait une difficulté énorme.

La puissance de l’imagination m’a beaucoup aidée à progresser dans mon intimité avec Dieu. La lecture de C.S. Lewis m’a grandement introduite dans cette voie. Ses récits sont imbibés de poésie, un régal pour l’imagination! Je vais te raconter mon cheminement. Mais avant de partager mes “trouvailles”, je t’encourage à oser trouver les tiennes. Chaque démarche est si personnelle!

Vous me chercherez, et vous me trouverez. Oui, je le déclare, moi, le SEIGNEUR : si vous me cherchez de tout votre cœur, je me laisserai trouver par vous. Jérémie 29:13-14

Avec Dieu :

Un outil qui m’aide de manière journalière, c’est de visualiser l’endroit au monde où je suis la plus heureuse (voir dessin) et rencontrer Dieu là, dans cet endroit imaginaire. Il m’a donné la certitude qu’Il m’attend dans cet endroit virtuel, avec joie, dans l’impatience de me voir arriver passer du temps avec Lui! Quelle tendresse de Sa part, quel immense privilège pour moi!

Avec Jésus :

Dans Apoc 3:20 je lis qu’Il frappe à la porte de mon cœur. J’imagine cette grande porte et mon choix de l’ouvrir ou pas. Je prie : “Viens Jésus, viens remplir chaque crevasse de mon être, le moindre recoin, de Ta belle, lumineuse présence. Sature-moi de Ta beauté, inonde mon âme de Ta glorieuse lumière. J’ai si besoin de plus de toi!”

Avec le Saint Esprit :

Je suis émue aux larmes d’imaginer Dieu qui daigne vivre en moi avec délice et reconnaissance. Je suis bouleversée que cela ait toujours été Son projet! Il n’a jamais voulu rester dans les cathédrales en pierres mais habiter nos corps comme Sa demeure préférée. N’est-ce pas incroyable? Il désire être au plus proche de nous, uni à nos moindres joies et peines, proposant de partager tout ce qui concerne nos vies.

Je mettrai en vous mon propre Esprit. Ezéchiel 36:27

Et il y a mieux! Il souhaite notre union. La Liliane la plus véritable, la plus vraie, est la Liliane unie à Dieu. Époustouflant!

Dieu, Jésus, Saint Esprit, je T’adore, je T’aime, je désire plus de Toi.

Merci, merci pour Ton humilité de vouloir vivre en moi.

Merci d’être si accessible.

Merci pour Ta douceur, Ta délicatesse, Ta générosité.

Je veux grandir dans ma capacité à T’aimer en retour, ardemment.

Aide-moi stp.

 
 

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Comment aimer

Chère lectrice, chère amie,

Je sais depuis un moment maintenant que cet e-mail ne sera pas évident à écrire. J’espérais que dans l’intervalle Dieu m’inspirerait comme Il l’a fait lors de la rédaction des deux derniers messages. L’échéance se rapprochant, j’ai compris que l’impulsion ne devait pas venir de Lui mais de moi, que je ne peux me cacher derrière Lui.

L’amour fait tourner le monde – c’est une idée connue à laquelle on accordera facilement quelque crédit quand on pense que la Création est la concrétisation d’un acte d’amour, que c’est ce qui donne du sens à l’existence, ce qui nous fait vibrer, chanter, nous dépasser, courir vers l’autre…

L’amour est partout autour de nous. Pourquoi est-ce donc si difficile d’écrire là-dessus? Probablement parce que cela vient nous toucher profondément, intimement. Il est tentant de se dissimuler derrière des principes ou des stéréotypes pour éviter de se révéler. Quand on aime sincèrement, on s’expose véritablement.

Aujourd’hui, je choisis de t’aimer, toi, qui me lis. Je choisis de ne pas tricher en usant de vérités générales ou de banalités pour parler de grandir dans l’amour. J’ai envie que tu sentes que, malgré la distance, je t’estime et désire t’honorer en te disant la vérité.

Je ne peux enseigner ou dire comment aimer. Je me sens souvent maladroite et, devant mon prochain, je vais souvent préférer me tenir en retrait. D’où l’envie de me planquer derrière mon Père céleste. J’ai souvent peur de faire faux ou de rater quelque chose. Cette peur-là se conjugue admirablement avec le sentiment d’être moins capable que les autres. Par conséquent, chacun de mes échecs a un retentissement terrible sur moi. La personne que je vois alors dans le miroir m’attriste et me déçoit.

Quand Jésus-Christ me demande d’aimer mon prochain comme moi-même, je ne peux que baisser les yeux et reconnaître que je ne peux y arriver par moi-même.

En revanche, je peux lever les yeux vers le ciel et m’adresser à celui que je vois comme mon Papa.

Appelée « ma fille », je viens me blottir contre toi et tu me rassures.

Dormantes, mes peurs sont maintenues à distance tandis que tu me tiens la main.

Oppressée, si je le suis, tu brises l’étau qui m’enserre pour que je me libère.

Ravie à l’ennemi, je choisis de dire qu’Elohim est mon Dieu.

Apposé sur mon front, un diadème de lumière atteste de mon appartenance à Jehovah Ori.

Toute forme d’obscurité est transformée par l’éclat de ta gloire : les ténèbres disparaissent et je contemple émerveillée ce monde qui s’illumine par ta présence.

Immaculée, la robe dont tu m’as parée dit que tu m’as graciée.

Offerte, ma vie t’est donnée et je sais qu’il n’y a rien que je puisse faire pour mériter tes bontés.

Nombreuses sont les bénédictions dont tu couvres tes enfants : que leur accomplissement révèle ta puissance et ton amour infini à toutes et tous !

J’ai écrit ces quelques lignes comme un psaume, comme une prière. Je les ai écrites en pensant à toi aussi, chère lectrice, pour que tu puisses les déclamer et te les approprier.

J’espère qu’au travers de cet e-mail, à défaut d’avoir appris comment grandir dans l’amour, tu en auras au moins reçu.

Cordialement,

 
 

Samantha Steiner
samantha@eglisehome.com

 

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Aimez vos ennemis!

Aimez vos ennemis ! (Matthieu 5:44)

Chère amie,

Ma maison, son beau jardin, la vigne autour, la fontaine qui chante … à force que je t’en parle, tu commences à bien la connaître. Si elle paraissait au début comme un rêve qui se réalise, elle ressemble aujourd’hui plus à un cauchemar dans lequel nous vivons littéralement cette parole : «l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison.» (Matthieu 10:36)

Dans l’appartement adjacent, de l’autre côté du mur, comme une force oppressante qui cherche à nous anéantir, habite un de ces hommes pervers que l’Eternel lui-même a en horreur. (Proverbes 3:32) Il cligne des yeux, parle du pied, fait des signes avec les doigts ; La perversité est dans son cœur, il médite le mal en tout temps, il excite des querelles. (Proverbes 6:13-14)

Et Dieu me dit de l’aimer !

Aimer, c’est « tendre l’autre joue » (Luc 6:29) Il ne s’agit pas d’accepter de se laisser écraser et humilier en restant passif face aux attaques de l’ennemi, mais de lui offrir la possibilité de se remettre en question. Comme Jésus face à l’huissier qui lui donna un soufflet : « Si j’ai mal parlé, explique-moi ce que j’ai dit de mal ; et si j’ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ? » (Jean 18:22-23)

Aimer, c’est aussi agir avec bonté et bienveillance. Comme le Père dans les cieux qui fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, pleuvoir sur les justes et les injustes. (Matthieu 5:45)

La bienveillance ne fait pas tout pour plaire à celui qui maltraite dans le but d’apaiser sa fureur et elle ne lui cherche pas d’excuses. Elle veille au bien. Sans se mettre en colère, elle prend position contre le mal et accomplit ce qui sera bénéfique pour l’autre. Elle agit par des actes de bonté et elle reprend et corrige si nécessaire. La douce chaleur du soleil est une manifestation de la bonté de Dieu. Et les fortes pluies … c’est comme une verge dont il frappe sa terre, ou comme un signe de son amour, qu’il les fait apparaître. (Job 37:6 et 13)

Aimer ses ennemis, c’est un chemin exigeant. Un chemin d’obéissance et de persévérance. Comme pour Moïse qui s’est présenté dix fois devant le Pharaon. Dieu a envoyé dix plaies, dix occasions de se remettre en question. Mais le roi de l’Egypte ne l’a pas voulu … et finalement, Dieu a délivré son peuple et l’a conduit dans le pays promis. (Exode 7 et suivants)

Aimer ses ennemis, c’est aussi devoir renoncer à sa vie, parfois. Comme Etienne qui a été lapidé pour avoir proclamé la vérité et dit : « Voici, je vois les cieux ouverts, et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu. » … et Saul regardait la scène, gardant les vêtements de ceux qui le faisaient mourir. (Actes 7:54-58 et 22:20) Mais Saul a été touché ce jour-là et préparé à rencontrer le Seigneur sur le chemin de Damas.

Après six ans dans notre maison et de nombreuses occasions données, le moment est peut-être venu de devoir renoncer à vivre dans ce lieu. Mais quelle que soit l’issue de cette situation, Dieu offre une perspective nouvelle et ouvre à une vision plus élevée : Le pays promis et la gloire comme celle du Fils de l’homme debout à la droite de Dieu.

Et qui sait ? Il y a peut-être un Saul, quelque part, qui observe.

 
 

Sylvie Scheidegger
e-mail

 

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L’immensité de son amour

En ce début d’année, quoi de plus encourageant que de réfléchir à l’immensité de l’amour de Dieu.

Relisons ensemble cette merveilleuse prière de Paul aux Ephésiens:

“Je prie qu'il vous donne, conformément à la richesse de sa gloire, d'être puissamment fortifiés par son Esprit dans votre être intérieur, de sorte que le Christ habite dans votre coeur par la foi. Je prie que vous soyez enracinés et fondés dans l'amour pour être capables de comprendre avec tous les saints quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur de l'amour de Christ, et de connaître cet amour qui surpasse toute connaissance, afin que vous soyez remplis de toute la plénitude de Dieu.” Ephésiens 3:16-19

Lorsque je pense à l'amour de Dieu, je pense à quelque chose d'éternel, à quelque chose qui ne s'épuise jamais et qui ne m'abandonne jamais. Je pense à quelque chose qui est tangible et qui m'accompagne à chaque instant. C'est incommensurable. Il faut que ce soit incommensurable, sinon Dieu devient fini.

Il n'est pas étonnant que Paul prie pour que nous soyons fortifiés par le Saint-Esprit. Nous ne pouvons tout simplement pas contenir, ni vraiment comprendre, la plénitude de l'amour de Dieu dans notre état limité. Si souvent nous limitons Dieu à notre propre compréhension des choses, à nos peurs ou à nos désirs.

Que ce soit le cri de notre cœur. Nous voulons connaître la présence du Christ vivant en nous, nous voulons expérimenter la plénitude croissante de son amour, nous voulons être remplis de toute la plénitude de Dieu (c'est beaucoup de plénitude). Nous ne le comprenons pas avec notre esprit (c'est trop restrictif) - nous le comprenons avec notre cœur. Que cela devienne votre désir aujourd'hui et pour toute cette nouvelle année !

“A celui qui peut faire, par la puissance qui agit en nous, infiniment plus que tout ce que nous demandons ou pensons, à lui soit la gloire dans l'Eglise [et] en Jésus-Christ, pour toutes les générations, aux siècles des siècles! Amen!” Ephésiens 3:20-21

Tu es aimée !

 
 

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Chronique de la salle de bain (32)

Bonjour chère Amie , 

C’est une joie de te présenter encore une fois une chronique de la salle bain. Pour explorer le thème de l’Amour, j’ai choisi de me pencher sur celui qu’on se porte… sujet ô combien sensible pour nous les femmes! 

Je te souhaite un bon visionnage!

Marie 

 

PS : pour celles suivent mes aventures dans les chroniques, j’ai battu mon record de stepper et suis arrivée à 133 étages!! ( il faut dire que le monsieur de 67 ans à côté de moi qui a fait 171 étages m’a largement motivée! Non mais!! Une jeunette comme moi?? Je ne vais pas me laisser abattre!) 


 
 

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Dieu m'aime

Chère amie,

Me reviennent les paroles d’une chanson de Goldmann:

Il y a des ombres dans « je t’aime »
Pas que de l’amour, pas que ça
Des traces de temps qui traînent
Y a du contrat dans ces mots là …
…………………………………………………..
…Ces trois mots là n’affirment pas
Il y a une question dans « je t’aime »
Qui demande « et m’aimes-tu, toi ? »

Oui, ça c’est notre amour à nous, souvent conditionnel : je t’aime si tu me prouves que tu m’aimes. Je t’aime si…

Mais Dieu, Lui, nous prouve un autre amour, un amour où on n’a rien à faire, rien à mériter, rien à prouver. Dieu t’aime et c’est tout!

Tu peux l’ignorer, le rejeter, refuser Sa présence, Son amour… RIEN ne l’empêche de t’aimer. Il est comme ça Dieu : amoureux de toi, de moi, de nous…

« Oui, j’ai la certitude que rien ne peut nous séparer de son amour : ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni d’autres autorités ou puissances célestes, ni le présent, ni l’avenir, ni les forces d’en haut, ni celles d’en bas, ni aucune autre chose créée, rien ne pourra jamais nous séparer de l’amour que Dieu nous a manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. »
Rom 8:38-39


 

Milvia Carraux
nouvelles@netplus.ch

 

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