Illumination

Chère lectrice,

Aujourd’hui, je te propose une réflexion d’ombre et de lumière, une invitation à considérer autrement ces moments où le temps ou les lieux nous semblent si sombres.

La nuit a souvent un côté inquiétant. On est moins confiant. Forcément. On voit moins bien. Comment savoir ce que les zones d’ombre dissimulent ? Et s’il y avait quelque danger ? On a besoin de lumière pour avancer sereinement et en sécurité. Pourtant, s’il fait nuit et qu’on allume la lumière, celle-ci va d’abord nous aveugler. Trop vive, elle nous éblouit et pendant un moment on n’y voit plus rien.

Lorsqu’on est en difficulté parce qu’il fait trop sombre, on va chercher une solution rapide. L’interrupteur en est une, pourvu qu’il soit là, mais il jette d’abord une lumière violente qui agresse notre vue. Cette tendance à vouloir tout résoudre facilement et promptement peut ainsi se révéler une source de péril au lieu d’un remède. Par ailleurs, ce qui est brillant est souvent attirant, mais les paillettes s’avèrent régulièrement trompeuses, aptes à nous faire miroiter des vérités illusoires.

Méfions-nous donc de notre désir de lumière.

Il y en a toutefois une, de lumière, qui ne représente nul piège, bien au contraire. Du reste, il ne s’agit pas d’une source de lumière mais de la lumière. C’est Jésus. La Parole de Dieu nous révèle dans Jean 1:4-5 (BDS) : « En lui résid[e] la vie, et cette vie [est] la lumière des hommes. La lumière brille dans les ténèbres et les ténèbres ne l’ont pas étouffée ». Ô combien ces mots sont rassurants !

Sa lumière est forte mais non pas agressive, ni trop vive. Elle jaillit de l’intérieur, de Lui, puisqu’elle est en lui. Jésus nous permet d’avancer dans la nuit quand les contours autour de nous sont flous et parfois effrayants : nous ne discernons peut-être pas tout, mais cela importe peu finalement. Il y a cette clarté en nous qui illumine gentiment ce qui nous environne. Au lieu de faire mal aux yeux, la lumière de Jésus est bienfaisante.

Il y a plusieurs vérités à garder à partir de cette image de la douce lumière. Premièrement, elle est toujours là. Elle ne s’éteint jamais. Qu’importe le déchaînement des éléments ou la tempête des événements, cette lumière n’est jamais « étouffée ». Par conséquent, cela nous garde de l’appréhension ou de la crainte. Cette assurance pour mon âme, voici ce que je souhaite retenir.

Deuxièmement, cette lumière en nous signifie que, même si nous entrons dans un lieu ou dans une période très sombre, nous allons y voir. Certes, cela peut paraître infime ou dérisoire au départ. Ce qui se produit, cependant, c’est que, graduellement, nos yeux s’habituent à l’obscurité. Non pas que nous nous y conformions ou adaptions, absolument pas. Mais nous devenons capables de mieux discerner ce qu’il y a autour de nous. Grâce à cette lumière en nous. Nous pouvons dès lors mieux confronter les ténèbres. Avec Jésus, elles sont soit transpercées, soit transformées ! C’est ainsi que la lumière gagne du terrain et triomphe.

‘Jesus, you illuminate the dark,’ pouvons-nous proclamer comme Red Rocks Worship dans leur chant ‘No Other Love’ (https://www.youtube.com/watch?v=efIrG7Mo92k). Jésus, tu illumines les ténèbres !

Je te laisse, chère lectrice, avec cette image de la lumière bienfaisante et encourageante. J’espère qu’elle illuminera ta journée et bien plus encore !

Cordialement,

 
 

Samantha Steiner
samantha@eglisehome.com

 

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Adoration

Chère lectrice, chère amie,

Comment vas-tu? La réponse m’intéresse vraiment. Chaque fois que je rédige un Mail Hebdo, j’essaie de t’imaginer, toi, qui reçois ce message. Je pense que chaque rédactrice des Mails Hebdo souhaite que ses mots puissent faire du bien, que cette impulsion du lundi matin soit une bénédiction et un encouragement.

Comment te sens-tu aujourd’hui? Peut-être as-tu le cœur lourd? Peut-être connais-tu un sentiment de fatigue face au poids de tes responsabilités ou une certaine lassitude à cause de toutes ces choses auxquelles tu dois penser?

C’est pourquoi aujourd’hui je désire te parler d’adoration. Il y a un rapport, je t’assure. Quand nous nous trouvons absorbées par une vertigineuse « to-do list », pressées de répondre aux demandes venant de part et d’autre, prendre une respiration ou même une pause pour lever les yeux vers Dieu s’avère souvent salvateur. Je suis sûre que tu as déjà pu en faire l’expérience ; et si ce n’est pas le cas, essaie pour voir. 

Quand nous levons les yeux vers le ciel, nous nous extirpons de ces eaux marécageuses auxquelles peut parfois ressembler notre quotidien. Notre regard se détourne de notre propre personne et de nos tracas pour se laisser surprendre par la beauté de ce qui nous entoure. Nos sens s’éveillent à la nature, à ce qu’elle produit de bon. Cela nous conduit au Créateur : nous sommes rendues sensibles à ce qu’Il fait autour de nous et dans nos vies. 

S’arrêter pour admirer l’œuvre de Dieu et l’adorer, Lui, cela apaise. Nul besoin d’être dans un lieu tout particulier pour le faire. En attendant un bus ou un train en milieu urbain, tu peux tout à coup remarquer les différentes teintes et textures variables du ciel, la luminosité particulière de cette journée. Peut-être que tu peux entendre le chant guilleret d’un oiseau ou admirer son vol gracieux ? Parfois ce sera une mélodie entendue en voiture ou un sourire reçu… autant de petites attentions qui me font apprécier la bienveillance de Dieu. 

Je songe alors à des situations concrètes de ma vie, à ces occasions où Dieu m’a montré qu’Il entendait mes prières et y répond. La reconnaissance emplit mon cœur et, avec elle, vient l’espérance. Si Dieu a pu agir ainsi par le passé, je peux m’attendre à ce qu’Il me surprenne à nouveau et montre qu’Il peut faire bien plus que je ne peux l’imaginer. 

Et toi? A quoi tes sens te rendent-ils attentive? Qu’est-ce qui t’émerveille aujourd’hui?

« Allez, viens… lève les yeux vers les hauteurs. N’est-ce pas là que tu trouves ton secours? « L’Eternel qui a fait le ciel et la terre te gardera des faux pas, celui qui te protège ne sommeillera pas. Non, jamais il ne dort, jamais il ne sommeille. […] L’Eternel veillera sur toi pendant tes allées et venues, dès maintenant et à jamais » Psaume 121

Je te souhaite une belle semaine.

Cordialement,

 
 

Samantha Steiner
samantha@eglisehome.com

 

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Comment aimer

Chère lectrice, chère amie,

Je sais depuis un moment maintenant que cet e-mail ne sera pas évident à écrire. J’espérais que dans l’intervalle Dieu m’inspirerait comme Il l’a fait lors de la rédaction des deux derniers messages. L’échéance se rapprochant, j’ai compris que l’impulsion ne devait pas venir de Lui mais de moi, que je ne peux me cacher derrière Lui.

L’amour fait tourner le monde – c’est une idée connue à laquelle on accordera facilement quelque crédit quand on pense que la Création est la concrétisation d’un acte d’amour, que c’est ce qui donne du sens à l’existence, ce qui nous fait vibrer, chanter, nous dépasser, courir vers l’autre…

L’amour est partout autour de nous. Pourquoi est-ce donc si difficile d’écrire là-dessus? Probablement parce que cela vient nous toucher profondément, intimement. Il est tentant de se dissimuler derrière des principes ou des stéréotypes pour éviter de se révéler. Quand on aime sincèrement, on s’expose véritablement.

Aujourd’hui, je choisis de t’aimer, toi, qui me lis. Je choisis de ne pas tricher en usant de vérités générales ou de banalités pour parler de grandir dans l’amour. J’ai envie que tu sentes que, malgré la distance, je t’estime et désire t’honorer en te disant la vérité.

Je ne peux enseigner ou dire comment aimer. Je me sens souvent maladroite et, devant mon prochain, je vais souvent préférer me tenir en retrait. D’où l’envie de me planquer derrière mon Père céleste. J’ai souvent peur de faire faux ou de rater quelque chose. Cette peur-là se conjugue admirablement avec le sentiment d’être moins capable que les autres. Par conséquent, chacun de mes échecs a un retentissement terrible sur moi. La personne que je vois alors dans le miroir m’attriste et me déçoit.

Quand Jésus-Christ me demande d’aimer mon prochain comme moi-même, je ne peux que baisser les yeux et reconnaître que je ne peux y arriver par moi-même.

En revanche, je peux lever les yeux vers le ciel et m’adresser à celui que je vois comme mon Papa.

Appelée « ma fille », je viens me blottir contre toi et tu me rassures.

Dormantes, mes peurs sont maintenues à distance tandis que tu me tiens la main.

Oppressée, si je le suis, tu brises l’étau qui m’enserre pour que je me libère.

Ravie à l’ennemi, je choisis de dire qu’Elohim est mon Dieu.

Apposé sur mon front, un diadème de lumière atteste de mon appartenance à Jehovah Ori.

Toute forme d’obscurité est transformée par l’éclat de ta gloire : les ténèbres disparaissent et je contemple émerveillée ce monde qui s’illumine par ta présence.

Immaculée, la robe dont tu m’as parée dit que tu m’as graciée.

Offerte, ma vie t’est donnée et je sais qu’il n’y a rien que je puisse faire pour mériter tes bontés.

Nombreuses sont les bénédictions dont tu couvres tes enfants : que leur accomplissement révèle ta puissance et ton amour infini à toutes et tous !

J’ai écrit ces quelques lignes comme un psaume, comme une prière. Je les ai écrites en pensant à toi aussi, chère lectrice, pour que tu puisses les déclamer et te les approprier.

J’espère qu’au travers de cet e-mail, à défaut d’avoir appris comment grandir dans l’amour, tu en auras au moins reçu.

Cordialement,

 
 

Samantha Steiner
samantha@eglisehome.com

 

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Mot de passe

Chère lectrice,

Est-ce que toi aussi tu peines à t’y retrouver avec les multiples mots de passe dont tu as besoin pour te connecter à l’extravagante quantité de portails virtuels sur le net ? Dernièrement encore j’ai dû réinitialiser un mot de passe parce que je ne savais plus quel était l’original… Il nous faut le bon code pour pouvoir « passer » : sans cela, nous nous retrouvons bloquées, empêchées d’aller de l’avant.

Il existe des mots qui déverrouillent des portes et nous permettent de «passer », des mots qui sont pareils à des clés. Certains, nous les appelons parfois «mots magiques», comme «s’il te plaît» ou «merci». Combien n’est-il pas plus facile de s’exécuter lorsqu’une demande est accompagnée d’un «s’il te plaît» ! On ne se sent pas contrainte d’agir, mais libre de choisir. Cette liberté fait toute la différence. Similairement, un «merci» gratifie le cœur d’un sentiment doux et donnant l’envie de faire plaisir à nouveau. Ce sont des mots simples mais puissants, des mots qui encouragent à bien faire ou à continuer de le faire.


Il y a deux semaines, Sylvie nous parlait de ces mots «qui ont comme les clés de notre esprit et de notre âme», qui «ouvrent les portes de notre compréhension et parlent à notre cœur». Ces mots agissent sur nous, nous éclairent et ont un pouvoir salvateur. Ceux dont je désire te parler aujourd’hui agissent sur autrui et semblent «magiques» parce qu’ils peuvent tout à coup laisser apparaître une voie là où initialement il y avait un mur.

L’exemple biblique qui m’a inspiré cette réflexion est celui de Jésus retrouvant Pierre après sa crucifixion (Jean 21). Le Nouveau Testament nous donne une image de Pierre comme étant celle d’un disciple engagé, téméraire et impulsif : il a confiance en Jésus, est déterminé à le suivre et semble plein d’assurance. Le douloureux moment de l’arrestation de Jésus et de son procès, cette nuit pendant laquelle il renie son Maître trois fois de suite, est destructeur. Il avait pourtant affirmé avec aplomb, peu avant, que jamais une telle chose ne pourrait se produire ! Toutes ses convictions se sont donc effondrées à ce moment-là.

Jésus ne l’abandonne cependant pas : il ne rend pas la pareille. Lorsqu’il revient à la vie et retrouve ses disciples avant de repartir définitivement quarante jours plus tard, il s’assure que Pierre redevienne cette pierre sur laquelle il bâtit son Eglise (voir Matthieu 16:18). Il accomplit ce miracle avec une formule «magique» qu’il répétera trois fois, comme autant de fois que Pierre l’a renié, comme les trois «verrous» qui ont condamné le disciple, conséquences de sa faute.

Jean relate l’événement ainsi :
Après le repas, Jésus demande à Simon-Pierre : «Simon, fils de Jean, est-ce que tu as plus d’amour pour moi que ceux-ci ?» Pierre lui répond : «Oui, Seigneur, tu sais que je t’aime.» Jésus lui dit : «Prends soin de mes agneaux.» (Jean 21:15, PDV)

Avec cette question, Jésus rappelle-t-il subtilement ces rivalités qui avaient parfois cours entre les disciples qui voulaient se distinguer, être meilleurs que les autres ? Est-ce une façon de tester Pierre dans ses réactions ? Pierre ne cherche plus à prouver quoi que ce soit, ni à se comparer aux autres. Il se fait tout petit devant Jésus. Pierre est écrasé sous le poids de la honte, un sentiment qui pousse l’homme à vouloir se cacher, disparaître. Pierre voudrait certainement se faire oublier, mais Jésus ne l’évince pas : au contraire, il le considère et l’estime malgré tout, il vient le ramener à lui, sur le chemin. CLAC. Un premier verrou saute. Où est la honte ?

Jésus répète ensuite sa question : « Simon, fils de Jean, est-ce que tu m’aimes ? » (Jean 21:16, PDV). Pierre est sur la défensive, puisqu’il ne se sent plus totalement en confiance : « Oui, Seigneur, tu sais que je t’aime », dit-il (italiques ajoutées). Le péché nuit à l’homme en nourrissant son cœur de sentiments comme la haine et la méfiance. Pierre est soupçonneux : sachant l’omniscience de son Maître, il ne comprend pas pourquoi ce dernier l’interroge de la sorte. Jésus ne se laisse nullement perturber par l’attitude de Pierre. Il lui confie une mission, il lui rappelle qu’il a confiance en lui : «Prends soin de mes moutons». CLAC. Un deuxième verrou saute. Où est l’hostilité ?

Jésus pose une troisième fois la question et Pierre est attristé (Jean 21:17). La culpabilité fait mal : le disciple se sait en tort, entend Jésus douter de son attachement et de sa fidélité. Il constate les dégâts de sa faute. Il paraît avoir perdu Jésus et la douleur le broie de l’intérieur. Il n’y a rien qu’il puisse faire pour le convaincre de son amour, n’est-ce pas ? Être coupable, c’est se retrouver enchaîné, immobilisé. Impuissant. Evidemment, Jésus voit les choses différemment : par trois injonctions successives, répondant à la déclaration d’amour de Pierre affirmée trois fois de suite, il le met en action : « Nourris mes brebis » (Segond 21). Jésus ne le condamne aucunement. CLAC. Un troisième verrou saute. Où est la culpabilité ?

Les paroles de Jésus délivrent Pierre de la honte, de l’hostilité et de la culpabilité. Il n’y a nulle sorcellerie dans cette formule magique qui fait sauter ces trois verrous comme par enchantement : c’est l’œuvre en puissance d’un cœur pur empli d’un amour incommensurable qui accorde le pardon sans distinction.

Pierre, à son insu, a donné à Jésus le bon mot de passe : son « je t’aime ». Il a pu dès lors avancer et répondre à l’invitation de son Maître lui disant «Suis-moi» (Jean 21:19).

Mesures-tu le pouvoir de tes mots à l’égard de Dieu et des autres ? Je t’encourage à considérer la Parole comme un trousseau dont les clés peuvent ouvrir des portes, faire sauter des verrous et redonner la vie!

 
 

Samantha Steiner
samantha@eglisehome.com

 

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En temps voulu

Chère lectrice,

Alors que j’essaie de t’imaginer lisant ces quelques lignes, je me demande aussi quel est ton rapport au temps. Est-ce aussi compliqué pour toi que pour moi ?

Pour ma part, j’ai l’impression d’être défiée à tous les niveaux dans ce domaine. Arriver à l’heure quelque part est un challenge quotidien au point que, lorsqu’il m’arrive occasionnellement d’être en avance, je ressens une joie exubérante et l’envie de le crier sur les toits. Je suis de celles et ceux qui attendent toujours la dernière minute avec tout le stress que cela implique. J’ai dû mal à gérer mon impatience, surtout dès qu’il s’agit d’informatique ou de trafic routier. Etc.

 

Je ne sais pas à quel point tu peux t’identifier à mes travers ou encore à la petite fille que j’étais qui piaffait d’impatience, perplexe, quand on répondait à l’une de ses questions par : «Tu comprendras quand tu seras grande».

Dernièrement, on m’a dit « Tu sauras en temps voulu ». Cela m’a d’abord agacée et rappelé cette fameuse phrase, « quand tu seras grande ». C’est pourtant là que m’est venue l’idée de cette lettre, parce que cela m’a fait penser à certaines prières ou questions adressées à Dieu pour lesquelles je suis en attente de réponse.

J’ai confiance en Dieu : je crois de tout mon cœur que « tout contribue au bien de ceux qui aiment Dieu » (Romains 8:28). Me répéter que Dieu, notre Père céleste, veut me donner ce qu’il y a de meilleur, cela m’aide quand je trouve l’attente longue. Je me rappelle aussi qu’il sait parfaitement mieux que moi, lui qui tient entre ses mains tous les temps, quel est « le bon moment ».

Bien entendu, c’est une chose de se répéter ces vérités, c’en est une autre de les vivre tous les jours. Depuis ce « en temps voulu » qui m’avait heurtée, les occasions de prendre conscience du bien-fondé de cette expression se sont comme multipliées.

« En temps voulu », j’ai reçu la matière de ce Mail Hebdo. « En temps voulu », Dieu m’a inspirée pour prendre les bonnes décisions et gérer différentes situations en lien avec mon travail. « En temps voulu », Dieu a révélé des blessures dans mon cœur et commencé à les guérir. « En temps voulu », j’ai pu recevoir et être profondément touchée et encouragée par les attentions et le soutien de l’entourage dont Dieu m’a bénie.

Tous ces « en temps voulu » te semblent sûrement vagues, je m’en rends compte. Ils font cependant référence à des situations concrètes de ma vie qui se sont produites ces quatre dernières semaines. Oui, « en temps voulu », j’ai su et j’ai pu être reconnaissante de ce timing parfait. On est toujours plus sage après coup, évidemment.

Ma prière pour toi est que ces mots « en temps voulu » dans ta vie produisent un doux sentiment de réjouissance parce que ce qui est devant toi est bon ; que cela remplace l’impatience ou la souffrance qui sont peut-être associées à une attente trop longue.

« Que le Dieu de l’espérance [te] remplisse de toute joie et de toute paix dans la foi, pour que [tu] débord[es] d’espérance, par la puissance du Saint-Esprit ! » (Romains 15:13)

 

Samantha Steiner
samantha@eglisehome.com

 

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